La fin de semaine la plus longue

Portrait de IkiLaFourmi

Boulot, dodo, transport chiant avec tout ce beau monde qui a la même routine que nous… on vit comme ça, des fois sans trop se poser de questions. Pour changer, on fait le party ; un petit à tous les soirs ou un gros quand on en a l’occasion.

 Halloween. Historiquement, la veille de la journée où on célèbre les morts (et oui, c’est le premier novembre que ça se passe… hollow’s eve). Concrètement, le soir où on découvre les gens sous un jour nouveau. Le costume est l’élément le plus important à cette transformation. Cadavres ensanglantés, lapins playboys ou testi brothers (ça c’est le costume le plus surprenant que j’ai vu à date [et pas juste cette année] : deux gars s’étaient alliés ce soir là pour jouer le rôle d’une couille, n’étant séparés que par un pénis rembourré dodelinant à chaque pas), c’est le rôle qu’on s’est doté pour une soirée. Généralement associé au sexe, le costume d’halloween permet une attitude jugée correcte pour une soirée, mais qu’on n’oserait jamais adopter dans la vie de tous les jours… Le retour à la normale est prévu pour le lendemain.

On boit, on fume, on déconne, on rit… pis à minuit, on recule d’une heure pour continuer le party plus longtemps… tout en gardant l’idée que l’hiver va arriver plutôt qu’on le pensait (comme l’année passée) et qu’il va faire aussi noir à 4h pm qu’au moment où on s’est levé à 6h am pour aller faire du boulot, métro, dodo…

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